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Journal d’une jeune bonne – chapitre 12

Nous n’avions pas vu le temps passer et Mme Boiron nous a fait les gros yeux quand nous sommes remontées. Elle a demandé à Raymonde, d’un air inquiet :

– Elle n’a pas… ?

– Oh, non, juste regardé.

La grosse cuisinière nous a encore examinées d’un air sévère, puis elle a saisi un torchon et elle a essuyé quelque chose sur le front de Raymonde. Elle a visité mon visage de près, a effleuré mon menton du bout de son doigt qu’elle a léché. Puis, en claquant sa langue :

– Hum, j’ai l’impression qu’elle a regardé de près ! Mais on n’a pas de temps à perdre, ce soir c’est un grand dîner avec le Cacique ! Il va y avoir du travail !

Raymonde a levé les yeux au ciel.

– Oh non, pas lui !

Devant mon air interrogateur la cuisinière m’a expliqué :

– Un monsieur très important qui préfère rester incognito ! Le patron compte beaucoup sur lui pour sa légion d’honneur, aussi il faut que tout soit parfait ! Alors nous allons le recevoir dignement. Toi, Raymonde, il faut que je te prépare avant qu’on se mette aux fourneaux !

Et comme Raymonde soupirait bruyamment :

– Oui, tu sais bien, le poil noir…

– Bon, bon… Mais Virginie peut rester ?

– Si ça l’amuse… Allez, en place.

Raymonde a relevé sa jupe, s’est débarrassée de sa culotte puis elle est montée sur la table et s’est allongée sur le dos, troussée jusqu’au ventre. J’ai enfin compris ce qui se passait quand j’ai vu Mme Boiron sortir d’un tiroir un blaireau, un bol de savon et un rasoir comme celui de mon grand-père, puis poser sur la table une bassine d’eau chaude. Elle s’est ensuite mise en devoir de savonner longuement l’entrejambe de Raymonde. Il me semble bien que le savonnage durait et que Raymonde n’en était pas fâchée. Je voyais ses hanches bouger doucement. J’aurais bien voulu essayer moi même le frottement du blaireau et de la mousse tiède !

– Allez, les jambes en l’air… Écarte tes fesses…

Raymonde a saisi ses genoux, a pris la pose, et Mme Boiron a continué à badigeonner avec ardeur. Il a bien fallu qu’à la fin elle joue du rasoir. Elle s’y prenait avec beaucoup d’adresse et bientôt le minou de Raymonde et son entrefesses se sont trouvés aussi lisses que ceux de Solange. Il me semblait que ses petites lèvres roses brillaient beaucoup et j’ai eu soudain une grosse envie d’y goûter. Mais Madame Boiron en avait envie aussi parce qu’elle s’est penchée et a commencé à les lécher goulûment en faisant plein de bruits mouillés. Elle s’y prenait très bien comme je pouvais le voir à l’expression du visage de Raymonde ! 

Je me suis penché sur elle pour lui donner un baiser qu’elle m’a tout de suite rendu en me fourrant sa langue agile dans la bouche. C’était très doux de respirer son souffle qui accélérait et j’ai glissé ma main dans ma culotte qui n’avait pas eu depuis le matin une minute pour sécher. Du coin de l’œil je voyais comment la cuisinière jouait de sa langue qu’elle avait fort longue et agile et qu’elle arrivait à faire pointue et rigide pour visiter le petit œillet brun. Puis Raymonde m’a murmuré entre deux gémissements :

– Il faut que tu t’occupes de Mme Boiron, la pauvre !

– Mais comment ? 

– Regarde dans le panier, là !

Dans le panier il y avait toutes sortes de légumes dont un concombre qui m’a semblé bien gros pour faire ce à quoi je pensais, mais depuis que j’avais vu l’olisbos de Madame, je n’étais plus sûre de rien. Je l’ai montré à Raymonde qui avait les joues rouges et les yeux perdus, mais qui m’a fait non de la tête. J’ai regardé encore. Il y avait bien un autre concombre mais il était vraiment énorme. Cette fois Raymonde m’a fait oui de la tête et elle a commencé à gémir plus fort.

Mais comment faire avec Raymonde qui jouissait et Mme Boiron tout absorbée à sa tâche ? J’ai retroussé les jupes et les jupons de la cuisinière, elle s’est cambrée en arrière tant qu’elle a pu pour m’aider. Ses cuisses et ses fesses étaient vraiment grosses mais pas laides du tout, lisses et luisantes de santé. J’ai aussitôt pensé que quelques coups de martinet lui seraient bien allés. De culotte, elle n’en portait point, seulement des bas de coton noir attachés au-dessus des genoux. Elle a écarté les jambes pour me donner le passage. Elle avait dû user du rasoir sur elle-même, je ne sais pas avec quelle acrobatie. Sa grosse motte était vierge de poil, ronde et fendue comme celle d’un gros bébé, et toute barbouillée de miel. J’ai pensé aussitôt à Jenny, la jument des Arnaud, et au spectacle que c’était pour Léa et pour moi quand on l’amenait à l’étalon de M. Kléber. Quand  j’ai pointé le concombre en le faisant tourner un peu elle a reculé son gros cul pour m’encourager, aussi j’ai saisi le légume à deux mains et j’ai poussé de toutes mes forces.

Je crois bien que vingt centimètres de la chose sont entrés d’un coup. Mme Boiron a poussé un cri à réveiller l’immeuble. J’ai eu très peur de l’avoir tuée. Mais quand j’ai compris que son cri était un énorme OUI, j’ai empoigné plus fermement l’engin et j’ai commencé à le faire aller et venir à toute vitesse pendant que la cuisinière continuait à ameuter le quartier.

Sa bouche avait quitté la moniche de Raymonde mais elle y avait fourré trois doigts qui la ramonaient à toute vitesse. J’avais les mains toutes glissantes et bien du mal à tenir le rythme, mais le piston qui entrait et sortait du con de la cuisinière et le bruit mouillé qui accompagnait mes va-et-vient avaient allumé un feu entre mes cuisses et je me demandais quand viendrait mon tour d’être ainsi ramonée. Soudain elle a cessé de crier et s’est mise à grogner comme une ourse en serrant ses cuisses. J’ai vu ses grosses fesses se contracter puis elle est retombée, le visage sur le ventre lisse de Raymonde, épuisée. 

J’ai retiré doucement le légume tout luisant, ne sachant qu’en faire, mais Mme Boiron s’était déjà relevée avec son visage de tous les jours. Elle a rajusté sa jupe et m’a pris le légume des mains pour le remettre dans le panier.

– Je le servirai ce soir, il a bien mérité la place d’honneur. Tu m’as donné une bonne secousse, mon petit, merci. Et maintenant, au travail. Toi, Virginie, Madame t’attend.

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 8

Mon cher cahier, il faut que je te dise que le service dans cette maison devient de moins en moins fatigant. Madame ne me demande rien de plus que des choses faciles comme passer le plumeau sur ses bibelots. Ce n’est pas du tout difficile, même si je dois le faire avec la culotte baissée jusqu’aux genoux, ce qui n’est pas commode pour marcher. Elle me demande toujours cela quand Monsieur est dans la maison, mais elle lui interdit de s’approcher de moi. C’est drôle, Monsieur me fait peur à moi, mais il n’ose pas désobéir à Madame.

Ce matin, elle m’a fait venir près d’elle au petit déjeuner et m’a demandé de beurrer ses tartines. Dès que j’ai eu les mains occupées, elle a glissé la sienne sous ma robe et s’est mise à me caresser entre les jambes. Elle le faisait très bien, et au bout d’un moment j’ai dû lâcher la tartine et me tenir à la table pour ne pas me laisser tomber sur le tapis. Alors elle m’a claqué très fort le derrière et m’a dit :

— Mais enfin, ma petite, pensez donc à ce que vous faites !

J’ai repris ma tartine et ça a recommencé jusqu’à ce que les fesses me brûlent et que ma culotte soit mouillée comme si j’avais fait pipi dedans. Quand elle a vu que je n’en pouvais plus, elle m’a demandé si j’avais envie de jouir. Maintenant, je sais ce que ce mot veut dire !

— Oh oui, Madame !

Alors, elle m’a déshabillée tout doucement en me caressant et en m’embrassant, mais sans jamais me toucher là où je voulais. Je devais garder les mains derrière le dos pendant qu’elle agaçait mes tétons du bout de sa langue. C’était terrible parce que je sentais que j’étais mouillée au point que ça coulait le long de mes cuisses.

Elle a ensuite sonné Solange et lui a demandé de faire venir la cuisinière et Raymonde, son aide. Elle a fait assoir toutes les femmes et m’a ordonné :

— Allongez-vous ici, sur le tapis. Mais oui, ici. Voilà, caressez-vous, maintenant. Montrez-nous comment vous faites.

J’avais envie de pleurer d’être regardée ainsi, mais j’ai obéi. J’ai glissé un doigt entre les lèvres de ma minette et j’ai commencé à frotter. Dieu que ça me faisait du bien. Madame et la cuisinière faisaient des commentaires, Raymonde ne disait rien.

— Vraiment cette fille est une putain !

— Voyez comme elle se tortille, Madame Boiron, quelle petite salope !

— Regardez comme elle écarte les jambes ! Qui aurait cru qu’elle était aussi vicieuse ?

Évidemment, j’étais morte de honte, mais il me semblait que plus j’avais honte et plus j’avais envie qu’elles me regardent et plus le plaisir montait haut. Et comme c’était ce qui leur faisait plaisir, je n’ai retenu ni mes cris ni les clapotements mouillés que faisaient mes doigts dans ma minette. J’ai vu que la petite Raymonde avait saisi son entrejambes à travers son tablier de cuisine et le serrait très fort. C’est en la regardant dans les yeux que j’ai joui et j’ai compris en voyant son visage rougir soudain qu’elle jouissait en même temps que moi.

Quand tout a été fini, Madame a pris Solange par la main et l’a emmenée très vite dans sa chambre. Je crois qu’elle lui a fait jouer de l’olisbos. La cuisinière est retournée à ses fourneaux et Raymonde est restée pour m’aider à me rhabiller. Je n’en n’avais pas besoin mais ça semblait lui faire plaisir. Elle m’a chuchoté en boutonnant ma robe :

— Oh, Mademoiselle, vous êtes si belle !

— Mais enfin, Raymonde, je ne suis pas une demoiselle, je sers ici comme toi !

— Non, vous, vous êtes une princesse. C’est toujours à vous que je pense quand Monsieur me prend.

J’ai vu que cette petite folle allait se mettre à genoux, alors je l’ai retenue et je l’ai embrassée sur la joue. Elle est redevenue très rouge.

— Oh ! Mademoiselle ! Vous ne devez pas ! Je ne suis qu’une sale fille de cuisine ! Je voudrais tant vous servir !

Je me suis dit qu’après tout être servie ne serait pas mal, et puisque cela semblait lui faire plaisir…

— Veux-tu me nettoyer ? Je suis encore toute mouillée…

— Oh oui, Mademoiselle !

Je lui ai tendu une des serviettes de table et elle s’est tout de suite mise à genoux sur le tapis. Mais c’est avec sa langue qu’elle a entrepris de faire ma toilette. C’était très amusant de la voir sortir une petite langue de chat et de lécher chaque centimètre de mes cuisses. C’était plaisant aussi et quand elle est arrivée en haut j’étais de nouveau très excitée. Je n’avais pas remis ma culotte alors elle s’est mise à lécher ma minette, mais toujours comme font les chats, pas comme Solange qui savait trouver les endroits les plus sensibles. C’était à la fois agréable et très énervant. Et en voyant cette fille à mes pieds, à quatre pattes comme un animal, j’ai regretté de ne pas avoir le martinet de Madame. Il me semblait que j’aurais eu bien du plaisir à lui faire rougir les fesses pour lui apprendre pendant qu’elle me léchait.

Comme j’avais une petite envie, j’ai eu une idée pour la punir. Je me suis concentrée et j’ai lâché un petit jet de pipi sur son visage. Elle a reculé mais je l’ai attrapée par les cheveux et je lui ai dit :

— Tu as dit que tu voulais me servir alors reste ici et ouvre la bouche.

Elle a obéi et j’ai lâché tout mon pipi sur son visage et dans sa bouche. Je sais que ce n’est pas bien, mais quel plaisir j’avais à la voir supporter ça sans bouger ! Le devant de sa robe était trempé et collait à ses petits seins pointus. Je l’ai trouvée presque jolie.

— Allons, va te changer et retourne à la cuisine !

— Oh, non, Mademoiselle, je veux rester comme ça !

— Tu m’aimes donc bien ?

— Oh oui, Mademoiselle !

— Tu es gentille. Viens m’embrasser.

Elle m’a tendu sa joue, mais je lui ai collé un vrai baiser avec ma langue dans sa bouche. Elle avait un peu le goût de pipi mais ça ne m’a pas déplu. J’ai cru qu’elle allait défaillir. J’avais envie d’aller voir comment c’était sous sa robe mais à ce moment la cuisinière est revenue l’appeler et elle n’était pas contente du tout, alors je l’ai laissée partir.

 

 

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 7

Après cela je me suis retirée dans ma chambre. Madame m’a fait dire qu’elle n’aurait pas besoin de moi jusqu’à l’heure du thé. Vraiment le service ici est de tout repos. Je me suis allongée sur mon lit pour repenser à toutes ces choses. Madame et son olisbos, et le plaisir que j’ai eu à lécher le… oh, j’ose l’écrire, à lécher la chatte de Solange. Je me suis rendu compte que sans le vouloir ma main avait rejoint mon propre entrejambes. J’ai eu la curiosité de voir comment j’étais faite, si j’étais si différente des deux femmes que j’avais pu voir de près. J’ai pris le petit miroir sur ma commode et je l’ai placé entre mes jambes écartées. Je n’avais jamais regardé comme ça avant ma… je l’appelais pissette comme toutes les filles de mon village parce que quand j’étais petite je pensais que ça ne servait qu’à faire pipi, puis j’ai quand même appris que ça servait aussi à faire des enfants, mais maintenant je comprends que ça sert surtout aux filles à avoir du plaisir. La mienne j’ai envie de l’appeler minette parce qu’elle est douce et blonde. Elle n’est pas aussi serrée que celle de Solange qui est comme un gros abricot, il y a sa petite langue qui dépasse dès que j’écarte un peu les jambes. Quand je l’ouvre avec mes doigts, l’intérieur est tout rose. Je vois le minuscule trou du pipi et dessous l’autre est bordé de fins pétales de chair et tout rempli d’une crème blanche très glissante qui me permet de faire entrer mon index très facilement. C’est d’ailleurs ce que je fais et qui me donne beaucoup de plaisir. Il y a des tas d’images qui viennent dans ma tête, les gros seins de Madame et sa chatte rousse, le jus de Solange dans ma bouche. Mon doigt bouge de plus en plus vite. Oh ! Je voudrais que Solange me regarde, qu’elle voie comme je suis vicieuse et qu’elle me dise encore des gros mots ! Alors je me les répète à voix basse. Putain, sale putain ! Petite vicieuse, salope ! Et le plaisir vient et m’envahit tout entière et il est délicieux.

Oh, j’avoue que j’ai recommencé deux fois dans l’après-midi. Quelle découverte que ce pouvoir de trouver le plaisir toute seule ! J’ai failli arriver en retard pour le thé de Madame ! J’ai juste eu le temps d’enfiler une culotte. Il aurait fallu que je me lave, mais je n’en n’avais plus le temps.

Je suis arrivée juste à temps au salon. Madame et Monsieur étaient installés sur les fauteuils près de la cheminée et Solange posait le plateau sur la table basse. Je ne savais pas trop quoi faire quand Madame m’a dit de venir m’assoir. J’étais bien sûr très gênée mais Madame sait se faire obéir. Il ne restait plus qu’un pouf assez bas. Je me suis assise comme je pouvais. Avec ma robe courte je ne pouvais pas manquer de montrer ma culotte et Monsieur qui était juste en face de moi ne se privait pas de regarder entre mes jambes. Il y avait deux théières et j’ai vu que Solange remplissait ma tasse avec la plus grosse. Madame m’a dit :

— Allons, buvez !

C’était un genre de tisane, ce n’était pas mauvais. Monsieur et Madame discutaient entre eux d’affaires de notaires auxquelles je ne comprenais rien. Monsieur ne quittait pas ma culotte des yeux. Solange remplissait ma tasse aussitôt qu’elle était vide. Après la troisième j’ai été prise d’une terrible envie de faire pipi, mais il a fallu que j’en boive encore deux. J’avais beau faire des efforts terribles, je ne pouvais pas m’empêcher de me tortiller et j’étais sûr que Monsieur et Madame s’en apercevaient. Mais comment quitter la table ? Enfin j’ai cru que Madame allait me libérer.

— Jeune fille, vous ne savez pas vous tenir assise comme il faut. Vous ne cessez d’écarter les jambes, c’est inconvenant ! Mon époux est choqué, n’est-ce pas Charles ? Tenez, mettez-vous ici et restez debout.

Debout c’était encore pire. L’envie devenait si forte que j’avais les larmes aux yeux. Solange s’est approchée de moi par derrière et m’a dit à l’oreille :

— Arrête de te retenir, tu vois bien qu’elle attend que tu pisses dans ta culotte !

Je n’arrivais pas à croire ses paroles mais pourtant je n’ai pu m’empêcher de laisser filer quelques gouttes. Madame s’en est aperçue.

— À la bonne heure, ma fille. Détendez-vous.

Elle a soulevé ma robe et a caressé ma minette du bout de son doigt à travers la culotte. Je ne pouvais plus me retenir et tout a giclé dans sa main. Le liquide chaud coulait sur mes cuisses comme une rivière et se répandait sur le parquet. Je pleurais à chaudes larmes, j’étais comme une fontaine, et en même temps, je me rends compte que cela me faisait un peu plaisir d’être vue comme ça. Madame n’a pas retiré sa main tout le temps que mon pipi coulait. Pourtant elle a pris un air très fâché.

– Voyez-moi cette petite catin, qui pisse devant ses maîtres ! Il faut la punir ! Solange, fessez cette impudente.

Solange attendait sûrement ce moment pour se venger. Elle est passée derrière moi et a fait descendre d’un seul coup ma culotte jusqu’à mes genoux. J’ai essayé de cacher ma minette mais Madame m’a donné une tape très forte sur la main. Solange a commencé à me donner des claques très fortes sur les fesses. Cela faisait longtemps que je n’avais pas été fessée ainsi. Je pleurais à gros sanglots parce que cela me cuisait très fort et surtout parce que j’avais honte que Monsieur voie ma minette toute mouillée. Il était tout rouge et tenait très fort la chose entre ses jambes. Je ne pouvais croire que c’était son engin d’homme parce que c’était gros comme l’olisbos de Madame.

Puis Madame s’est levée, m’a empoignée et m’a obligée à m’allonger sur le parquet. Elle a fini de m’ôter ma culotte, en a fait une boule qu’elle a mis de force dans ma bouche. C’était affreux d’avoir ce goût de pipi. Ensuite elle s’est mise à genoux devant moi, m’a écarté les jambes et a commencé à lécher l’intérieur de mes cuisses. Je dois dire que sa langue me chatouillait d’une façon très agréable, mais quand elle est entrée dans ma minette j’ai ressenti quelque chose que je n’avais pas encore imaginé. La vague de plaisir a aussitôt explosé en moi et elle n’en finissait plus. Je n’ai pas pu m’empêcher d’écarter encore plus les jambes et de soulever mon ventre, j’avais envie que cette langue entre au plus profond de moi. Malgré le bâillon je me suis mise à gémir très fort.

Puis Monsieur est venu derrière Madame. Je ne voyais pas bien ce qu’il faisait mais j’ai compris qu’il la prenait comme faisait l’étalon de notre voisin au village quand on lui amenait des juments. Madame continuait à me lécher et elle poussait des grognements terribles. Je crois que la chose de Monsieur lui faisait beaucoup de bien. Elle a ôté un moment sa bouche et a crié :

– Au cul, Charles ! Au cul !

Monsieur a dû faire quelque chose parce que Madame a poussé un grand cri. Monsieur donnait de grands coups de reins et lui aussi poussait des grognements terribles et puis Madame a dit :

– Ah ! Je meurs ! Charles venez maintenant !

Monsieur s’est mis à pousser de plus en plus vite, Madame avait sa bouche collée à ma minette et soudain tout le monde s’est mis à crier en même temps, moi aussi parce que mon bâillon était parti puis tout le monde est resté immobile un moment et c’était fini.

Monsieur s’est relevé et a rajusté son pantalon. Je n’ai pas pu voir sa chose, pourtant j’aurais bien aimé. Madame s’est relevée aussi. Elle a lissé sa robe tranquillement. Elle m’a dit :

– Levez-vous, mon petit. C’est très bien. Nous ferons quelque chose de vous. Elle m’a prise par le menton et m’a donné un gros baiser en mettant sa langue dans ma bouche. Elle avait le goût de ma minette. Monsieur m’a embrassée aussi et sa moustache m’a chatouillée et j’avais envie qu’il continue, mais les maîtres se sont retirés et nous ont laissées Solange et moi remettre de l’ordre dans le salon.

J’avais la tête qui tournait un peu. J’ai demandé à Solange ce que Madame voulait dire par « faire quelque chose de moi ».

– Oh elle veut dire faire de toi une putain, mais je crois qu’ils n’auront aucun mal, tu es née pour ça.

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Lendemain de fête

Laissons un moment Virginie et ses aventures. Voici une petite scène de théâtre… Un défi lancé par deux amies chères.

 

Noémie : Ouvrant les rideaux. Monsieur a-t-il bien dormi ?

Le marquis d’Esprées : Bâillant et s’étirant. Quelle heure est-il ? Tout le monde est-il parti ?

Noémie : Quinze heures, Monsieur. Tout le monde a quitté le château hormis le général. J’ai appelé son aide de camp. Il fait le nécessaire.

d’Esprées : Le nécessaire ?

Noémie : On va le porter dans son bureau.

d’Esprées : Il est en si mauvais état ?

Noémie : Je crains qu’il soit tout à fait mort, monsieur le Marquis. Voyez-vous, pendant que l’attaché d’ambassade le chevauchait, Madame était assise sur son visage. Madame suçait Firmin, le palefrenier. Monsieur sait qu’il est monté comme ses bêtes. Madame aura oublié de le laisser respirer.

d’Esprées : C’est un oubli fâcheux. A-t-il joui au moins ?

Noémie : Firmin ? Il ne se serait pas permis de décevoir Madame. Il a déchargé dans sa bouche et, sauf votre respect, l’a appelée putain et sac à foutre. Pour le général, je ne saurais dire.

d’Esprées : Comme aux Dardanelles. Il aura tiré trop court. Les filles ont-elles été payées ?

Noémie : Damien s’en est chargé. La sous-maîtresse a réclamé cinq cent francs de supplément pour un tablier d’écolière déchiré.

d’Esprées : Ah, c’est la manie de Monsieur le duc. A-t-il bien eu une vierge ? Cela me coûte assez cher.

Noémie : Il avait l’air satisfait. Il ne s’est pas aperçu que c’était la même que la semaine dernière, celle qui était en petit marin.

d’Esprées : Réservez-là pour la prochaine fois. Cette petite est très bien. Qu’on la mette en communiante cette fois. Si avec ça je n’ai pas ma Légion d’Honneur, c’est à désespérer.

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 6

Après cela j’ai fait le ménage de la salle de bains en pleurant. Je m’étais fait une bonne amie et maintenant elle allait être fâchée à mort avec moi après les coups de martinet que je lui avais donnés. Si au moins je n’avais pas tapé aussi fort ! Mais le pire, c’était le bonheur que j’avais ressenti à le faire. Il me semblait qu’à chaque fois que les lanières venaient frapper ses fesses, il montait en moi comme une vague de plaisir, de plus en plus grande et quand j’ai vu sa peau tendre ravagée par les lanières, cette vague m’a submergée.

J’ai enlevé ma culotte qui était toute mouillée et ça me faisait drôle de faire le ménage comme ça, toute nue sauf mes bas et mon porte-jarretelles. En plus le grand miroir me reflétait et c’était la première fois que je me voyais nue tout entière. Je me suis regardée un moment en me demandant si c’était vrai ce que Solange disait, si j’étais vraiment jolie. Je me suis dit que mon visage n’était pas si mal, au moins j’ai de grands yeux et ma bouche est bien dessinée. Et le chignon me vieillit un peu. Pour le reste je suis trop maigre et mes seins sont petits avec des pointes très pâles. Je n’ai pas beaucoup de poils sur ma – oh, je ne veux pas dire un vilain mot que je connais – ils sont très clairs et fins et on voit la fente à travers qui remonte assez haut. Je ne sais pas si c’est joli.

J’avais besoin de me laver et la baignoire était encore pleine. J’ai enlevé mes bas et je suis entrée dans l’eau tiède et mousseuse. Nous n’avons pas cela à la ferme et je dois dire que c’était délicieux. Puis j’ai senti la « chose » de madame encore collée au fond. Je l’ai prise dans ma main. Je n’arrivais pas à croire que Madame pouvait faire entrer ça dans son intimité. J’ai même fait une chose bizarre. J’ai fait entrer pour voir le bout de mon index dans mon petit trou – non, je ne suis pas si ignorante, je sais que ça s’appelle vagin. C’était mouillé et glissant, mais bien trop petit pour le gros olisbos. Mais avec mon doigt dans le vagin, j’ai commencé à sentir revenir la vague. J’ai échangé mon index contre mon majeur qui pouvait aller plus loin, là j’ai senti comme une barrière. Alors j’ai fait aller et venir mon doigt de plus en plus vite, je sentais que je pouvais comme ça faire revenir le plaisir. Mais j’ai entendu un bruit et j’ai vite arrêté. Je me suis séchée et j’ai remis ma robe pour finir le ménage mais comme elle est très courte c’était encore plus bizarre de passer l’éponge à quatre pattes par terre. Dans cette maison, je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours l’impression d’être regardée.

Enfin j’ai fini de tout ranger et comme je ne pouvais pas rester ainsi les fesses nues je suis remontée dans ma chambre pour remettre une culotte, très inquiète de devoir affronter Solange. Je suis passée sur la pointe des pieds devant sa chambre, ma culotte encore humide à la main. Mais le plancher craque terriblement et bien sûr sa porte s’est ouverte. Solange est apparue. Elle portait une robe de chambre de soie rouge que je ne connaissais pas, ouverte et sans rien dessous. Elle m’a attrapée par le bras et tirée à l’intérieur. J’ai eu très peur, je pensais qu’elle allait se venger et me battre à son tour. Elle est bien plus forte que moi et en plus je ne me serais pas défendue, je le méritais bien. Bien sûr je pleurais à chaudes larmes. Elle m’a poussée sur son lit, elle est montée sur moi et m’a saisie par les poignets. Je ne pouvais plus du tout bouger. Je fermais déjà les yeux en attendant les gifles qu’elle allait me donner. Elle me disait des choses terribles mais c’est drôle, elle n’avait pas l’air d’être vraiment en colère. Dans la bataille, ma robe était remontée jusqu’à ma taille et je sentais ses cuisses nues sur mes hanches et sa chose à elle tout près de la mienne.

— Alors, garce, tu t’es bien amusée à me fouetter le cul ? J’ai les miches en feu ! La patronne m’a mis de la crème mais ça brûle encore ! Je crois que tu as eu ton compte de plaisir ! C’était bon, hein, salope, de dégeler les fesses de ta copine ! Qui aurait cru ça de toi, avec ton air de Sainte-Nitouche ? Je crois que tu es de la graine de putain ! Une petite salope qui ne le sait pas encore !

Et à mesure qu’elle me parlait, son visage se rapprochait du mien. Et soudain elle a posé sa bouche sur la mienne. J’ai compris qu’en fait elle n’était pas fâchée puisqu’elle m’embrassait. On ne m’avait jamais embrassé comme ça et j’ai trouvé ça drôle. Et quand elle a sorti sa langue j’ai entrouvert ma bouche pour la laisser entrer et ma langue a joué avec la sienne et c’était très doux. De temps en temps, elle s’arrêtait pour me dire encore des gros mots, mais doucement comme si c’étaient des mots doux.

— Tu vois dans quel état tu me mets, petite pute ! Ah ! J’ai la chatte en feu ! Il faut que tu me donnes ta bouche !

Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait puisque ma bouche elle l’avait déjà, mais j’ai fait signe que oui. J’ai compris quand elle s’est déplacée sur le lit pour mettre sa fente au-dessus de mon visage. Oh, comme c’était étrange ! Je n’avais jamais vu l’intimité d’une autre fille d’aussi près ! Elle est si jolie, toute lisse et bombée ! Elle l’a ouverte avec ses doigts et j’ai pu voir l’intérieur, tout rose, mouillé et luisant.

— Allez ! Suce-moi, putain !

Il me semble que j’aurais dû trouver ça dégoûtant mais pas du tout. J’ai allongé ma langue et j’ai goûté. C’était un peu salé et délicieux. Alors avec le bout de ma langue j’ai parcouru toute sa petite grotte. J’ai bien vu quels étaient les endroits où elle aimait bien parce qu’elle gémissait plus fort. Au bout d’un moment elle a commencé à pousser des cris. Elle a attrapé mes cheveux et elle a commencé à frotter son entrejambes sur mon visage. Mon menton, ma bouche, mon nez étaient tout mouillés. Puis elle s’est immobilisée, sa bouche d’en-bas collée contre ma bouche à moi et j’ai senti qu’elle tremblait. Moi j’ai envoyé ma langue le plus loin possible dans son trou d’en bas. En même temps elle coulait plus fort, mais ce n’était pas du pipi. J’en avais plein la bouche et j’avalais comme je pouvais. Elle s’est retirée juste à temps parce que je manquais d’air. Elle s’est penchée, elle était très rouge et elle m’a de nouveau embrassée avec la langue. Elle m’a dit :

— Petite salope, ça faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort. Je crois qu’on va bien s’amuser avec toi. Je te rendrais bien la pareille mais Madame s’est réservé ta première fois.

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 5

La salle de bains de Madame ressemble à un temple. La baignoire est en marbre noir, posée sur une estrade, en marbre elle aussi mais rose, comme le sol. Les murs sont en bois sombre, ornés de sculptures. Un grand miroir occupe tout un mur. Solange a rempli la baignoire et versé des sels de bain, puis elle est allée prévenir Madame que tout était prêt. Madame est entrée, vêtue d’un peignoir de soie et d’une chemise de nuit toute en dentelles.

— Ôtez vos robes, je ne veux pas que vous les mouilliez, a-t-elle ordonné.

Nous avons obéi, et Solange a aussi ôté son soutien-gorge, peut-être par solidarité avec moi qui n’en porte pas. Je pouvais comparer dans le miroir mes petits seins à peine esquissés avec leurs pointes rose pâle avec ceux de Solange, mais quand nous avons déshabillé Madame, il m’a semblé qu’auprès d’elle, nous étions deux fillettes. Madame a la majesté d’une statue. Ses seins sont très gros mais ils se tiennent hauts et fiers comme une figure de proue. Nue, elle est plus rousse que blonde. Les pointes de ses seins sont pâles comme les miennes mais longues et dressées malgré la chaleur de la pièce. Sa peau est d’une blancheur de lait, à peine marquée de quelques taches de rousseur aux épaules et à la poitrine. Elle est restée un moment à ranger çà et là des pots de crèmes ou des flacons, peut-être pour nous laisser admirer son corps sous toutes les coutures, ses fesses rebondies que sa taille fine met en valeur, la toison de son ventre, à peine un toupet de poils d’un roux pâle, et qui ne cache rien.

Puis elle est entrée dans le bain brûlant en poussant un soupir d’aise. Elle s’est relevée ruisselante face au miroir et nous a ordonnées de la savonner. Nous sommes montées sur l’estrade de chaque côté de la baignoire. J’ai cherché des yeux un gant ou une éponge, il n’y en avait pas. Solange a pris une savonnette et a commencé à savonner Madame avec ses mains nues. Elle m’a fait signe en silence de faire de même. J’ai tâché d’imiter ses gestes. D’abord les épaules et les bras, les aisselles bien épilées, le dos, puis les seins. J’ai eu du plaisir à sentir glisser mes mains savonneuses sur ces globes élastiques que ma main est bien loin de contenir. J’ai senti dans ma paume leur pointe se durcir encore et s’allonger. Puis Madame a dit « Assez ! » et nous avons continué notre savonnage. Les cuisses et les fesses, et c’est la main de Solange qui est entrée dans le sillon profond, car je n’osais pas. Elle y est restée longtemps, allant et venant lentement et il m’a semblé que Madame accompagnait ses gestes par des mouvements du bassin. Virginie m’a commandé des yeux de m’occuper de l’autre côté. J’ai savonné le ventre plat, la toison, mais Madame m’a arrêtée d’une tape sèche sur la main. « Pas de savon ici. Prenez la crème dans le pot vert. » J’ai pris le pot de porcelaine qu’elle me montrait. J’y ai plongé ma main. La crème était riche et onctueuse. J’ai hésité un instant mais le regard de Madame m’a effrayée. J’ai glissé ma main entre ses cuisses et j’ai commencé à imiter les gestes que Solange faisait par derrière. Madame n’est pas faite comme moi. Tout chez elle est plus grand. Bien sûr, je sais comment sont faites les femmes. J’ai visité ma propre intimité pour me laver, bien que je passe vite à cause du savon qui pique. Chez moi le bouton au-dessus du trou qui fait pipi est tout petit, celui de Madame est gros et dur, il dépasse largement entre ses lèvres du bas, et c’est la même chose pour les replis qui entourent l’autre trou, celui par où viennent les bébés, d’après Léa – ce que je ne peux pas croire, le mien ne laissant passer qu’un de mes doigts. Et j’ai senti sous mes doigts l’entrée de l’intimité de Madame, et il m’a bien semblé que le lieu était déjà enduit de crème avant que j’arrive, et cette grotte humide semblait attirer mes doigts ; Madame a saisi mon poignet et elle a guidé ma main pour que mes doigts parcourent lentement, puis de plus en plus vite, toute la longueur de sa vallée. Elle soufflait comme Solange dans son lit, ce doit être une habitude de cette maison. Puis elle a ordonné à Solange :

— Donnez-moi l’olisbos !

— Lequel, Madame ?

— Le blanc.

— Oh ! Madame va se faire mal !

— Non, petite sotte, la main de cette petite est si douce ! Elle m’a bien préparée.

Solange a ouvert un tiroir, en a sorti un objet étrange qui semblait être en porcelaine, de la taille du bras d’un petit enfant, avec un bout arrondi et l’autre muni d’une ventouse en caoutchouc. Solange a plongé la chose dans la baignoire, je pense qu’elle l’a fixée au fond par la ventouse. Je me suis demandée si Madame allait introduire cette chose en elle, je me suis dit que c’était impossible. Pourtant elle s’est agenouillée, a semblé chercher un instant, puis elle est descendue lentement en poussant un râle profond. Solange s’est agenouillée près de la baignoire, elle a rincé rapidement les seins de Madame, puis elle a pris dans sa bouche le bout qui était de son côté, m’intimant des yeux l’ordre de prendre l’autre. Je l’ai fait, ce qui m’a semblé bien étrange. Le téton était dur dans ma bouche, je l’ai tété et sucé aussi fort que je pouvais pour faire comme Solange. Madame nous a saisies toutes les deux par les cheveux. Elle s’agitait de plus en plus vite et criait tout à fait maintenant, d’une voix de gorge qui semblait sortir d’un animal, mais je ne crois pas que c’était de la douleur. Soudain elle a repoussé Solange avec colère.

— Ma fille vous n’êtes pas à votre tâche. Virginie, punissez-là !

Je suis restée interdite, me demandant quoi faire, mais Solange, la tête baissée, est allée fouiller dans un autre tiroir et en a sorti un martinet. Oui, c’était bien un martinet comme on en trouvait chez nous, prétendument pour fouetter les chiens, mais dont ma grand-mère usait sur nos mollets à la moindre peccadille. Solange me l’a mis dans la main, puis elle a fait descendre sa culotte à mi-cuisses et s’est mise en position au bord de la baignoire, les fesses tendues en arrière face au miroir. Je suis restée sans bouger, le martinet dans ma main encore enduite de crème. Je n’avais pas du tout envie de fesser Solange que j’aimais déjà si fort. Mais Madame a crié :

— Allez-y ! Sinon, vous devrez prendre sa place.

Je me suis mise à pleurer, mais Solange s’est tournée vers moi et m’a fait un sourire pour m’encourager. J’ai alors donné un petit coup, à peine une caresse. Cette fois c’est Solange qui a semblé se fâcher.

— Un peu de courage, allons !

La deuxième fois j’ai cru avoir frappé trop fort, car Solange s’est cambrée sous le coup, ses fesses se sont écartées, révélant son trou de derrière et sa fente imberbe. La peau a rougi. Madame a recommencé à se trémousser sur l’olisbos et à râler en disant d’une voix entrecoupée : « Plus fort sur cette garce ! Allons, fais crier cette putain ! » Je me suis mis à fouetter ma pauvre Solange sans trop savoir ce que je faisais, de plus en plus vite, sur les fesses et sur les cuisses, cherchant à atteindre les parties les plus sensibles. Solange criait et pleurait, ses fesses étaient zébrées de traces rouges et boursoufflées, mais il me semblait que mon bras ne m’appartenait plus. Il y avait une vague énorme de plaisir qui montait dans mon ventre. Puis Madame a poussé un dernier cri, plus fort et plus long, et c’est elle qui a arrêté mon bras.

J’ai repris mes esprits. Madame s’est relevée, elle riait. Elle a dit à Solange qui essuyait ses larmes :

— Vous voilà bien arrangée. Venez dans ma chambre, je vais vous soigner. Et vous, Virginie, rangez cette pièce et allez vous changer.

J’ai alors vu la flaque à mes pieds. J’avais fait pipi dans ma culotte.

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 4

26 juillet 1960

Mon cher cahier, comme cette journée a commencé de façon étrange ! Moi qui d’habitude me lève d’un bond, je me suis réveillée toute molle et l’esprit brumeux. Il me semblait me souvenir à-demi d’un rêve ou Solange entrait dans mon lit toute nue. Ce qui est curieux c’est que moi aussi j’étais toute nue, sans même une chemise de nuit. Comme mon lit est très étroit, nous avions bien du mal à nous y tenir sans nous emmêler les membres. Je me souviens d’avoir senti les pointes dures de ses seins contre les miennes. Quand je me suis réveillée j’avais une sensation bizarre dans le bas du ventre, difficile à décrire mais pas désagréable. J’ai appuyé très fort avec ma main sur ma… – tu sais quoi, juste là où Solange avait posé ses doigts hier – pour faire passer cette drôle de sensation mais ça devenait encore plus fort. J’ai enfilé mon peignoir pour aller aux cabinets et juste au moment où je passais devant la chambre de Solange, sa porte s’est ouverte. On aurait dit qu’elle m’attendait.

— Viens vite ! m’a-t-elle chuchoté, j’ai besoin de ton aide !

Je suis entrée dans sa chambre. Elle était déjà habillée et pimpante. Elle tenait ses mains levées en les secouant.

— Comme une idiote j’ai mis mon vernis à ongles avant d’aller faire pipi. Maintenant il faut que j’attende qu’il sèche.

Je l’ai regardée sans comprendre. Elle s’est tortillée un peu et ses yeux se sont dirigés vers le bas.

— Oh, tu voudrais que je…

— S’il te plaît… ça presse !

— Bon, allons-y.

— Oh, non, pas là-bas. On pourrait rencontrer quelqu’un. Regarde, j’ai… Enfin, tu sais, la nuit, j’ai peur d’aller dans le couloir.

J’ai suivi son regard et j’ai découvert près de son lit un vase de nuit comme nous en avons à la campagne et comme je ne croyais pas en revoir en ville. Je suis restée un instant interdite. D’autant que l’objet était posé devant un grand miroir fixé au mur. Solange s’est tortillée de plus belle. Elle a pris un air suppliant.

— Virginie ! Vite !

Je me suis donc agenouillée devant elle. J’ai remonté sa jupe noire jusqu’à sa taille. Elle portait une culotte de soie couleur chair, très ajustée car on devinait le sillon au bas de son ventre. Bien sûr j’ai dû défaire ses jarretières, puis j’ai fait descendre la culotte jusqu’à ses chevilles. C’était drôle de voir de si près son intimité. Il y avait un petit pli de chair qui apparaissait entre les lèvres lisses et renflées, comme si sa bouche d’en bas me tirait la langue. Je suis restée ainsi un instant. Solange ne se trémoussait plus. Puis elle s’est souvenue de son envie pressante et elle est passée derrière son lit en marchant à petits pas, entravée aux chevilles par sa culotte. Je l’ai suivie sans savoir ce que je faisais et ce n’est qu’en entendant le bruit de cascade contre l’émail que je me suis enfin retournée vers le mur. Quand elle a terminé elle est revenue vers moi en me tendant le rouleau de papier sans rien dire. Je l’ai essuyée, d’abord les cuisses parce que le pipi avait coulé de travers, puis sa pissette. Je sentais la chaleur et l’humidité de cette partie d’elle cachée entre ses cuisses à travers le mince papier. Elle a voulu que je recommence trois fois. Elle me disait : «Allez, n’aie pas peur de frotter !» Elle respirait fort. La chaleur trouble dans mon ventre était encore plus forte. Mais plus je frottais et moins le papier était sec. Enfin, elle m’a tenu ma main très fort et elle a dit « Arrête, je vais devenir folle ! » J’ai remonté sa culotte, rajusté ses bas et sa jupe. Elle m’a dit :

— À toi maintenant.

J’ai pensé que j’avais bien le temps d’aller aux cabinets, mais il m’a semblé que c’était bien, de ne pas me montrer plus honteuse qu’elle. Je n’avais pas fait cela depuis des années devant une autre personne, mais j’ai soulevé ma chemise, j’ai fait descendre ma culotte de coton et je me suis accroupie. Solange m’a regardée jusqu’au bout à genoux devant moi et ses yeux braqués entre mes cuisses que je n’osais pas serrer. Il me semblait entendre les battements de mon cœur par-dessus le glouglou dans le vase. Quand j’ai fini, Solange ma fit lever et regarder dans le vase.

— Tu as vu tout ce qu’on a fait ?

En effet nos deux pipis du matin avaient rempli le vase presque jusqu’au bord. J’ai tendu la main vers le rouleau de papier, Solange m’a fait signe que non et c’est elle qui a remonté ma culotte, sans se soucier de son vernis à ongles qui avait séché apparemment. Elle m’a dit :

— Un peu d’humidité va bien aux blondes comme toi. Ce soir l’odeur sera parfaite. Va t’habiller. Nous allons prendre le petit déjeuner et donner son bain à Madame.

 

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 3

Je me suis interrompue en entendant du bruit dans le couloir. C’était Solange, la femme de chambre de Madame, qui revenait de congé. J’ai ouvert ma porte, elle a tout de suite lâché son sac de voyage pour m’embrasser. « C’est toi la nouvelle bonne ! Comme tu es jolie ! Ah ! Je sens que nous allons bien nous aimer ! » Ces gentilles paroles m’ont presque fait pleurer. D’autant que je sais bien que je ne suis pas jolie, juste une maigrichonne avec des jambes trop longues et pas de poitrine. Mais Solange, elle, est une beauté. C’est une brune avec des cheveux coupés à la garçonne. Elle a le teint pâle et de jolies lèvres qu’elle dessine au rouge. Sa robe ne cache rien de sa silhouette parfaite. Comme j’envierais sa poitrine et ses hanches si elle ne se montrait pas déjà si gentille avec moi. Elle m’a fait entrer dans sa chambre qui est presque identique à la mienne, à part le joyeux désordre. « Ah ! Que c’est bon de rentrer ! J’ai dû retourner chez mes vieux, tu parles d’un ennui ! Tiens, aide moi. » Elle m’a tourné le dos et je l’ai aidée à défaire la fermeture éclair de sa robe. D’un geste elle s’en est débarrassée. Mais quelle surprise, dessous, à part des bas et son porte-jarretelles, elle était toute nue ! J’en suis restée bouche-bée. Elle a commencé à ranger ses affaires en babillant comme si de rien n’était. Comme je ne disais rien, elle m’a regardée curieusement.

– Qu’est-ce que tu regardes ?

– Euh… tes… seins… Ils sont si beaux !

– Tu trouves ? Un peu gros, non ? Et je n’ai que dix-huit ans ! Mais ce qui est drôle, ce sont les bouts. Tiens, caresse-les un peu. Non, comme ça, tu les pinces doucement, comme pour les aiguiser. Tu vois comme ils se dressent ? C’est marrant, non ? Les tiens font ça aussi ?

Je n’ai rien répondu, j’étais si gênée ! Et j’avais envie de lui demander pourquoi en bas elle était lisse comme mes petites sœurs. Elle a dû suivre mon regard car elle a éclaté de rire.

– Oh ! Ça ! Si tu savais le temps que ça prend ! Un par un, à la pince. Et ça fait un mal de chien. Mais « elle » ne supporte pas le poil noir. Toi tu as de la chance d’être blonde ! Et ces yeux immenses, et cette bouche ! Et ce teint de lis ! Ah, il faut que je t’embrasse.

Et elle s’est mise à me dévorer de baisers. Les joues, le front, le cou, la nuque, et même tout au bord des lèvres. Quelle chance d’avoir trouvé une compagne aussi amicale ! Mais comme c’était étrange d’avoir cette fille nue collée contre moi ! Il me semblait qu’elle avait un peu de mal à respirer.

Elle m’a regardée dans les yeux.

– Toi, tu ne sens rien ! Tu es tout à fait innocente, n’est-ce pas ?

Je ne comprenais pas. Elle a dit : Ah ! Je n’en peux plus ! » Elle s’est précipitée dans son lit et a remonté les draps. Elle devait être bien lasse.

– Viens t’assoir près de moi, a-t-elle dit dans un souffle. Il m’a semblé que son bras remuait sous le drap.

Je me suis assise mais j’avais beau tirer sur ma robe elle remontait au-dessus de mes bas. Je devais être affreuse à voir. Solange continuait à remuer sous le drap. Elle poussait maintenant de petits gémissements. Elle m’a dit : « Ecarte les jambes, je t’en prie. Tu es si belle ! » J’ai fait ce qu’elle demandait. Elle a posé sa main sur le haut de mon bas et a caressé très gentiment l’étendue de peau entre le bas et la culotte. Cela me chatouillait un peu mais ce n’était pas désagréable. J’ai écarté les jambes plus largement. Elle a fait une chose bizarre. Elle a écarté l’élastique et ses doigts ont touché l’endroit par où je fais pipi. J’aurais dû trouver cela dégoûtant mais elle était si jolie avec ses lèvres entrouvertes que je l’ai laissée faire. Puis elle a porté les mêmes doigts à ses lèvres, s’est tendue comme un arc et elle a poussé un grand « Ah ! »

Ensuite, il m’a semblé qu’elle s’endormait aussi je l’ai laissée et je suis retournée dans ma chambre pour écrire dans mon cher cahier.

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 2

Mon cher cahier, voici enfin cette journée terminée. Je suis si fatiguée que j’ai envie d’aller dormir tout de suite, mais je dois penser à Léa.
La matinée s’est passée à des petits travaux, comme épousseter les lustres et les livres de Monsieur. L’essentiel pour Madame est que je ne casse rien. Pour les travaux les plus durs, il y a une femme de peine qui vient tous les vendredis. C’est tellement moins pénible qu’à la ferme !
A midi, j’ai dû servir le repas. J’ai dû faire tout très mal, malgré les conseils de Madame, car Monsieur me regardait avec son air sévère. Plusieurs fois j’ai eu les larmes aux yeux.
A une heure, une fille est arrivée pour livrer mon uniforme. La couturière a fait bien vite. La commise qui a livré le colis était une petite apprentie d’à peine quinze ans aux cheveux frisés et au nez en trompette. Une effrontée qui regardait Madame avec l’air de se moquer d’elle. Elle a dit : « Rien d’autre aujourd’hui ? Monsieur n’est pas là ? » Madame au lieu de se fâcher lui a glissé une pièce et lui a pincé le menton. Je n’en suis pas sûre mais il me semble que dans le vestibule elle s’est penchée pour l’embrasser. Comme mes patrons sont riches c’est peut-être une de leurs protégées.
Ensuite l’essayage a eu lieu. Toute une cérémonie ! D’abord Madame a chassé Monsieur du grand salon. Il est parti sans protester s’enfermer dans le petit cabinet d’à côté qui est pourtant très étroit.
Madame m’a alors ordonné de me déshabiller. J’ai tout enlevé sauf mon tricot et ma culotte. Elle a dit : »Le tricot aussi. » Je n’osais pas lui dire que je n’avais pas de soutien-gorge parce que ma poitrine est trop menue. J’ai ôté le tricot et j’ai vite caché mes seins avec mes mains. Madame m’a alors fixé le porte-jarretelles et elle m’a enfilé les bas. J’avais envie de lui dire que je pouvais le faire moi-même mais elle avait peut-être peur que je les file. Elle m’a ensuite enfilé des chaussures noires à talons, m’a épinglé le bonnet de dentelles et m’a ordonné de marcher dans la pièce.
C’était drôle de le faire dans cette tenue, surtout que je ne suis pas très adroite sur les talons. Puis ça a été le tour de la robe. Mon Dieu, qu’elle est courte ! C’est à peine si elle cache le haut de mes bas. Je me suis dit qu’elle allait sûrement la renvoyer mais non, elle avait l’air d’être satisfaite. Quand j’ai été habillée, elle m’a fait faire plusieurs fois le tour de la pièce, ramasser plusieurs objets sur le sol (qu’elle venait d’y mettre !) et enfin renvoyée dans ma chambre jusqu’au dîner. Décidément, ce n’est pas fatigant ! En sortant, j’ai entendu Monsieur dire : « Un ange ! Mais vous très chère, vous êtes une sorcière ! Cette culotte de coton avec toute cette soie, c’est une trouvaille ! » Que voulait-il dire ? Les culottes sont toujours en coton, n’est-ce pas ? Et qui est un ange ?

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Journal d’une jeune bonne – chapitre 1

25 juillet 1960
Aujourd’hui était mon premier jour dans ma première place. Il est tard, mais je n’arriverai pas à m’endormir tout de suite, aussi je vais commencer à noter mes impressions dans ce cahier. Cela m’aidera pour me souvenir, car Léa au village m’a fait promettre de tout lui raconter.
D’abord mes patrons. Madame est une assez belle femme d’environ trente-cinq ans. Elle a des cheveux blonds tirant sur le roux et se coiffe en chignon. Je crois qu’elle est assez fière de sa silhouette. Elle portait aujourd’hui une robe que j’ai trouvée un peu courte pour son âge, et très décolletée.
Elle m’a donné tellement d’instructions que je n’ai presque rien retenu. Elle a l’air assez sévère. Elle m’a fait essayer l’uniforme, mais il va falloir faire des retouches car la fille qui m’a précédée était bien plus formée que moi. Madame a marqué toutes les pinces qu’on allait devoir faire. Elle y a mis du temps.
C’est drôle, elle a voulu elle-même m’enfiler les bas de soie blancs, qui étaient trop grands aussi. Elle a promis de m’en acheter, elle dit que les bas de coton que j’ai font vraiment trop campagne. Elle a dit « Pour les culottes, vous pouvez garder celles-ci. Elles conviennent bien à votre genre. » Je n’ai pas compris ce qu’elle voulait dire.
Monsieur est un grand brun à l’air très sérieux. Il m’a à peine regardée quand Madame m’a conduit au salon pour me présenter. Elle a dit « Voici Virginie, la nouvelle bonne. » Il a levé la tête un instant. Il a dit « Hum ! J’espère que celle-ci ne volera pas les petites cuillères. »
Puis il a replongé dans son journal. Mais quand je suis sortie de la pièce j’ai bien senti qu’il me détaillait.
J’ai une chambre sous les toits. Elle est petite mais il y a une fenêtre d’où on voit l’avenue, un petit lit, une armoire minuscule, mais qui suffira bien pour mes affaires, une table, une chaise et un petit lavabo. Les cabinets sont dans le couloir.
Je serai bien mieux qu’à la ferme où je devais partager ma chambre avec mes deux petites sœurs et où il fallait se laver dans la cuisine. La chambre d’à côté est celle de Solange, la femme de chambre de Madame, qui est en congé jusqu’à demain. Il y a aussi une cuisinière et son aide, mais elles ne dorment pas dans la maison. J’ai mangé avec elles tout à l’heure. La cuisinière, Mme Boiron, est une grosse femme au visage rouge, mais elle a l’air gentil. Son aide, Raymonde, est une longue fille pâle aux cheveux noirs pas très souriante. Je crois qu’elle est très jeune.
Voilà, j’ai rangé mes petites affaires et je vais découvrir mon petit lit. A demain cher cahier.