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Journal d’une jeune bonne – chapitre 11

J’avais un peu peur, surtout d’aller dans la cave, en réalité, à cause des araignées et tout, mais à huit heures dix je descendais l’escalier poussiéreux.

J’ai poussé la porte de la cave. C’était plus grand et mieux éclairé que je le croyais. Il y avait des bouteilles alignées partout et même des tonneaux. Monsieur est un grand amateur de vin. J’ai trouvé Raymonde dans les bras d’un grand garçon brun qui la dépassait d’une tête. Il était penché sur elle et l’embrassait en pétrissant son petit sein dur. J’ai dû faire un peu de bruit. Quand il m’a aperçu il a tout de suite lâché Raymonde. Il m’a regardé en devenant tout rouge et c’est vrai qu’il était plutôt joli. Plus âgé que Raymonde et que moi, mais pas beaucoup, peut-être dix-huit ans. Raymonde a éclaté de rire.

— N’aie pas peur, grand nigaud ! C’est Mademoiselle Virginie. Je lui ai parlé de toi. Mademoiselle je vous présente Lucien. Lucien tu vois que je ne t’ai pas menti. Elle est très belle, non ?

Lucien n’a pas répondu, mais il me dévorait des yeux en triturant sa casquette.

Raymonde a commencé à caresser le paquet entre les jambes du garçon en riant.

— Mais attention, ce n’est pas pour toi, un trop joli morceau ! Mais dis-donc, ça te fait de l’effet on dirait !

Elle a défait le pantalon de Lucien et il est tombé à ses chevilles. Le caleçon a suivi. La chose du garçon était bien droite et regardait plutôt le plafond. Elle était grande et longue, mais moins grosse que celle de Monsieur et d’une jolie couleur claire. Lui, il ne me quittait pas des yeux.

— Venez, Mademoiselle, n’ayez pas peur. C’est une belle queue, pas vrai ? On l’appelle aussi la bite, le zob, ou Popaul. Elle a plein de noms.

Je me suis approchée. Elle caressait l’engin en me nommant les différentes parties.

— Vous voyez, ça, ce sont les couilles, c’est là-dedans que se fait le jus. Celles de Lucien sont bien grosses. Hein que tu vas bien décharger pour ta môme ?

Raymond commençait à être très rouge.

— Suce-moi plutôt au lieu de causer, petite salope !

— Attends un peu, j’explique à Mademoiselle ! Vous voyez, quand je tire la peau, ça fait sortir ce gros bonbon, c’est le gland. Il est gros, hein ? Ah, je le sens passer quand il m’encule ! Regardez, Mademoiselle, c’est ici l’endroit le plus sensible.

Elle se met à genoux et titille du bout de sa langue le gros bonbon, elle en fait le tour, lèche la tige tout du long puis remonte ; Lucien a l’air d’apprécier. Il saisit Raymonde aux cheveux et force ses lèvres pour faire entrer sa bite dans la bouche de Raymonde.

— Ah, putain ! Allez, pompe-moi fort.

Et toujours c’est moi qu’il regarde. Il me semble que c’est bien dans ma bouche qu’il voudrait la mettre ! Maintenant Raymonde a pris le rythme. Guidée par la main de Lucien, elle avale la longue queue jusqu’au bout et la laisse ressortir, toute luisante de salive. Je sens que je suis toute mouillée. Je n’ose pas mais j’aimerais bien me branler, et surtout j’aimerais savoir ce que ça fait, de sucer un engin pareil. Lucien pousse des gémissements de plus en plus forts. Je crois qu’il va jouir et je ne verrai pas la crème dont Raymonde m’a parlé. Mais on dirait qu’il a lu dans ma pensée. Il tire en arrière la tête de Raymonde qui ne veut pas lâcher son bonbon. Sa queue est encore plus grosse, le gland est tout gonflé et rouge.

— Mademoiselle, vous voulez bien ? Avec votre main…

— Mais comment ?

— Tenez, prenez-la ici. Allez, n’ayez pas peur de serrer.

J’empoigne la chose. Oh, comme c’est doux et chaud, tout glissant de la salive de Raymonde. Il me montre comment il faut faire aller ma main et je dois le faire bien parce qu’il souffle de plus en plus fort.

— Ouvre la bouche, toi, salope !

Soudain il pousse un grand cri et un long jet blanc gicle et puis un autre et encore un autre, un peu dans la bouche et sur tout le visage de Raymonde, et même dans ses cheveux. Je me rends compte que ma main gauche a glissé sous ma robe, qu’elle serre ma minette et que c’est tout près de me venir. Alors Raymonde se lève et vient coller sa bouche sur la mienne et nos langues, nos salives et le foutre de Lucien se mélangent et je jouis.

Par Nicolas V.

Érotomane impénitent. Nostalgique d'un temps où l'érotisme se cachait derrière des murs et des rideaux épais.

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