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Journal d’une jeune bonne – chapitre 9

À l’office

Madame a interdit à Monsieur de me toucher depuis qu’il m’a embrassée. Aussi il me regarde comme un loup regarde un agneau, parce qu’il a très envie de recommencer mais il obéit à Madame en tous points. Elle lui a dit :

— Vous savez bien que vous aurez ce joli morceau, Charles, mais seulement quand j’en aurai décidé ainsi.

Cet après-midi, Madame était sortie faire des visites, et Solange partie Dieu sait où. (Je la soupçonne de l’avoir fait exprès). Monsieur est soudain revenu à la maison, ce qui est tout à fait inhabituel, et nous nous sommes retrouvés en tête-à-tête. Moi je me disais que puisque personne ne pouvait le savoir Monsieur pouvait bien m’embrasser encore. Ce n’est pas moi qui serais allé le dire à Madame, et j’avais bien aimé le chatouillis que m’avait fait sa moustache et aussi son odeur d’eau de Cologne et de cigare. Alors je suis allée passer le plumeau sur les livres de son bureau.

Il m’a regardée faire un moment sans rien dire. Puis il m’a ordonné d’épousseter les livres tout en haut. Oh, j’ai bien compris que cela faisait remonter ma robe et qu’on voyait la lisière de mes bas et même un peu plus haut le bord de ma culotte. Alors j’ai épousseté encore et encore. Il m’a fait nettoyer la cheminée et ramasser des tas de pièces de monnaies qu’il avait fait tomber exprès, je l’ai bien vu. Il me suivait de près, il était très rouge et il respirait fort.

Soudain, il a semblé exaspéré. Il m’a dit :

— Suis-moi !

Il m’a conduite à l’étage des domestiques, je me suis dit qu’il allait s’enfermer avec moi dans ma chambre pour me faire des choses pas permises. J’avais un peu peur mais je serrais mes cuisses très fort parce que ça me chatouillait un peu dans le ventre quand on s’est arrêtés devant la porte voisine de celle de Solange, celle qui ne sert à personne. La pièce était vide mais il y avait un genre de fenêtre. J’ai vu qu’on apercevait la chambre de Solange et j’ai compris que c’était le miroir qui était transparent et qu’il pouvait regarder par là tout ce qui se passait. Il m’a dit :

— Je t’ai vue sucer la chatte de Solange et jouer à ses jeux de petite vicieuse… Il y a un miroir semblable dans la salle de bains. Tu joues les innocentes, mais tu es une petite traînée, une salope.

Il me parlait de très près, et je sentais son odeur. Et je voyais qu’il mourait d’envie de poser sur moi ses mains qui sont grandes et fortes. J’avais chaud entre les jambes et je me demandais ce qu’il allait me faire. Je n’osais pas regarder mais j’étais sûr que sa chose était raide dans son pantalon. Mais la peur de Madame a été la plus forte. Il ne m’a pas touchée du tout. Il m’a dit soudain « Viens ! » et il est redescendu très vite par l’escalier de service. Je l’ai suivi jusqu’à l’office.

Il y avait là la grosse Mme Boiron et Raymonde qui buvaient du café à la table.

Monsieur a dit à Mme Boiron qu’elle avait congé pour une heure. Au ton de sa voix, elle a compris qu’il n’y avait pas à discuter. Elle est sortie tout de suite. Raymonde nous regardait tous les deux avec des yeux ronds. Monsieur a commencé à défaire sa ceinture, puis il l’a enlevée tout à fait et me l’a tendue.

— Je veux que tu corriges cette petite putain. Une vicieuse qui se touche.

J’ai pris la ceinture. J’avais de la peine pour Raymonde, mais j’avais très envie de le faire aussi. De la façon dont elle m’a regardée, j’ai compris qu’elle était contente. Elle s’est levée de sa chaise et elle est venue s’appuyer des deux mains sur la table, ses fesses tendues en arrière. Monsieur s’est approché, a roulé sa jupe, puis il a fait descendre la culotte de Raymonde jusqu’à ses chevilles. Il l’a guidée jusqu’à ce que la position lui convienne. Elle était cambrée, les jambes écartées autant que la culotte le permettait, sa joue sur la table et elle me regardait dans les yeux comme pour me dire « C’est pour vous, Mademoiselle. » Ses cuisses et ses fesses étaient blanches et maigres, sa minette était cachée par les poils noirs épais qui remontaient jusqu’entre ses fesses.

J’ai enroulé la ceinture de cuir autour de ma main et j’ai frappé fort. Elle a crié et soulevé son pied du sol comme pour se protéger. Je me disais : « Comme tu es mauvaise ! Cette pauvre Raymonde qui n’a rien fait ! » Mais voir la traînée rouge se dessiner sur sa peau me donnait des frissons et faisait monter le plaisir dans mon ventre. J’ai continué à frapper, lentement, en choisissant bien les endroits. Raymonde se tortillait et me regardait à travers les grosses larmes qui coulaient, avec son regard de chien fidèle et ça me donnait envie de taper plus fort.

Puis je me suis aperçu que Monsieur avait son pantalon et son caleçon sur ses chevilles et qu’il tenait sa chose à la main. Dieu ! Que c’était gros ! Au moins autant que mon poignet, long et recourbé vers le haut avec une tête très rouge. Il m’a dit « Arrête ! » Je me suis dit qu’il avait bien pu faire entrer cette chose dans Madame qui supportait le grand olisbos, mais certainement pas dans la pauvre Raymonde. Pourtant, il s’est approché d’elle en tenant son engin comme s’il voulait la pénétrer.

— Ah, tu l’as bien arrangée cette chienne.

C’est vrai que la peau de Raymonde était zébrée de traces rouges et enflées. J’avais envie de caresser cette peau brûlante, de la goûter et d’y appuyer mes lèvres. Je sentais que ma culotte était toute mouillée. J’avais très envie de me laisser aller à faire pipi. Monsieur fouillait entre les cuisses de Raymonde avec son engin terrible qu’il serrait dans son poing. Il a dû trouver l’entrée parce que Raymonde a poussé encore un grand cri. Une idée m’est venue. J’ai vite enlevé ma culotte et je suis montée sur la table. J’avais tellement hâte que j’ai poussé tout ce qui s’y trouvait et que la vaisselle s’est écrasée par terre. Je me suis placée en face de Raymonde, les jambes largement écartées et ma minette juste devant son visage. Elle y a tout de suite posée sa bouche et s’est mise à me sucer très fort, en aspirant mon petit bouton.

Pendant ce temps, Monsieur qui l’avait saisie par ses hanches étroites poussait en faisant des grands Han ! et des Prends ça, salope ! Raymonde criait tout en dévorant ma minette et c’était délicieux, comme si je me sentais moi-même pénétrée par le gros engin de Monsieur. Elle se retenait à la table mais les grands coups de reins de Monsieur la projetaient contre moi, aussi je la tenais par les cheveux. Finalement, Monsieur a fini de faire entrer toute sa chose dans Raymonde, ce que j’ai trouvé incroyable, et à la faire aller et venir à toute vitesse en donnant de grands coups de reins qui déplaçaient la lourde table. Ça augmentait l’effet de la bouche de Raymonde sur ma minette alors ça m’est venu très fort, j’ai crié « Ah oui ! Ah oui ! Baisez bien cette putain ! Baisez-la !» et Monsieur a crié aussi et Raymonde ne disait rien parce que je l’étouffais à la serrer entre mes cuisses.

Après ça Monsieur a sorti son engin de Raymonde et il baissait la tête mais il faisait encore peur.

Raymonde s’est relevée lentement, a remonté sa culotte. Monsieur a ramassé la mienne que j’avais laissée sur le plancher, il a essuyé son engin avec et me l’a tendue. Raymonde s’est mise à ranger tranquillement pendant que Monsieur se rhabillait et quittait la cuisine sans un mot. J’ai remis ma culotte. Je sentais que c’était un peu mouillé contre ma minette et je me suis dit que c’étaient les jus de Raymonde et de Monsieur. Je suis allée vers Raymonde, je lui ai demandé si elle avait eu très mal, mais elle m’a dit :

— Oh, non Mademoiselle, j’ai l’habitude ! C’est difficile à faire entrer, mais une fois qu’elle est dedans, c’est plutôt bath. Et surtout vous avez joui avec ma bouche, ça c’était épatant !

Alors je l’ai prise dans mes bras, je l’ai embrassée avec la langue et j’ai mis ma main dans sa culotte. Sa minette était toute mouillée et collante mais j’ai trouvé son bouton et je l’ai caressé jusqu’à ce qu’elle jouisse si fort qu’elle s’est presque évanouie dans mes bras. Quand elle a rouvert les yeux elle m’a dit : « Oh ! Mademoiselle, comme je vous aime ! »

Par Nicolas V.

Érotomane impénitent. Nostalgique d'un temps où l'érotisme se cachait derrière des murs et des rideaux épais.

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